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Le Sucre – la Seconde Drogue la Plus Addictive et Destructrice au Monde

Cocaine & Sugar

Sucre et Diabète = une Menace Mondiale


L'Addiction au Sucre. Une étude publiée en 2012 par l’Association Américaine du Diabète estime que 20% de l’argent total dépensé par les services de santé aux Etats-Unis l’est pour les patients atteints de diabète, et que 60% de ces dépenses sont prises en charge par le gouvernement. Ce n’est pas un problème spécifique aux Etats-Unis ; le diabète est un problème sanitaire mondial aux coûts exorbitants. 10% de la population du Panama est atteinte de diabète. La Fédération Internationale du Diabète estime que 366 millions de personnes sont atteintes de cette maladie dans le monde, et le montant des dépenses liées à cette maladie à 454 milliards de dollars. Ces coûts sont à peu près les mêmes que les frais de santé liés à la consommation abusive de drogue aux Etats-Unis en 2004. Les estimations sont les suivantes (en dollars, par an) : 181 milliards pour les drogues, 185 milliards pour l’alcool et 193 milliards pour le tabac, pour un total de 559 milliards par an. En 2013, l’Association Médicale Américaine a listé le diabète parmi les maladies.

Credit Suisse: $1 trillion is spent on heathcare in United States due to excess consumption of sugar (Forbes, Oct 2013)

Morgan Stanley: How the epidemic of obesity and diabetes, due to excess sugar consumption , poses a threat to global economic growth (March 2015)

Number of People with Diabetes

Diabetes rates by country

Une des causes majeures du diabète, surtout celui de type 2 (diabète adulte) est la surconsommation de cette drogue alimentaire qu’est le sucre, surtout celui ajouté aux boissons à succès : sodas, jus de fruits. Une étude publiée en 2013 dans le journal Diabetologia, qui a étudié les habitudes alimentaires de 28 500 personnes en Europe pendant 15 ans, a montré que boire un soda aux sucres ajoutés par jour (par exemple, une canette de 25 cl de Coca-Cola, soit 37 grammes de sucre) augmente le risque de diabète de type 2 de 22%. Les études montrent qu’à l’échelle mondiale, les boissons sucrées causent 180 000 morts par an ( Sugary Beverages Linked to 180,000 Deaths Worldwide (Les boissons sucrées liées à 180 000 morts dans le monde), Alexandra Sifferlin, Time, 20 March 2013). L’annexe 1 est un tableau comparant les taux de sucres dans diverses boissons. Un article publié en mai 2013 dans le Journal Clinique de la Société Américaine de Néphrologie révèle de nouveaux dangers liés aux boissons sucrées : "Sodas et autres boissons et leur risque de calculs rénaux". Une autre étude de 2013, publiée dans le Journal de la Médecine de Nouvelle-Angleterre, a rapporté qu’un taux de sucre dans le sang trop élevé accroit les risques de démence. En août 2013, Nature Communications (http://dx.doi.org/10.1038/ncomms3245), a émis des avertissements encore plus pressants à propos du sucre : "Les taux de consommation de sucres ajoutés chez l’homme accroît le taux de mortalité chez les femmes et réduit la forme physique des hommes", ce qui signifie que la consommation de sucre à des doses habituelles peut être toxique pour l’homme.

Le nouveau "sucre" pour des millions d’enfants : le Ritalin, aux actions très proches de celles de la cocaïne..
Voir aussi : Ritalin & Cocaïne : le Ritalin, une porte d’entrée pour la cocaïne. Voir aussi : Les ventes d’ADHD rendent 3,5 millions d’enfants américains accros aux amphétamines comme Adderall et Ritalin ; des ventes de 9 milliards de dollars par an pour ce cartel.

Dans un article d’opinion publié le 1er février 2012 aux éditions Nature, Santé publique : la vérité toxique sur le sucre, des chercheurs de l’Université de Californie à San Francisco, ont avancé que le sucre devrait être une drogue règlementée au même titre que le tabac et l’alcool (alcool qui, ironiquement, n’est qu’une forme de sucre distillé). D’autres recherches ont montré que le sucre, cette drogue alimentaire, active le même circuit de récompense dans le cerveau que celui activé par les drogues traditionnelles telles que la morphine et l’héroïne. En effet, on pourrait dire que les producteurs de sucre sont un "cartel" (le coût du sucre est deux fois plus élevé aux Etats-Unis qu’ailleurs et coûte 4 milliards de dollars par an aux Américains, car le cartel des producteurs soudoie le Congrès pour garder des coûts d’importation élevés ; par exemple, le Congrès a reçu 12 millions de dollars des lobbyistes du sucre en 2012, et les producteurs ont reçu pour 1.1 milliards de dollars de prêts en 2013). Le maire de New York, Michael Bloomberg, a essayé sans succès d’interdire la vente des sodas géants pleins de sucres dans sa ville. Aux Etats-Unis, plus de 1.5 milliard de dollars de sucre est vendu au détail pour consommation personnelle ; les ventes totales de sucre aux Etats-Unis représentent environ 20 milliards de dollars par an, et 80 milliards à l’échelle mondiale (plus de 160 millions de tonnes). Ces sommes sont à peu près équivalents aux revenus mondiaux tirés du commerce illégal de la cocaïne – et ce sont tous deux des produits addictifs qui créent et entretiennent le plaisir.

Sugar in Drinks

En effet, les dangers d’une surconsommation de sucre sont tels que certaines bouteilles de soda ont désormais deux étiquettes d’information. Prenons l’exemple de la marque de sodas aux fruits KIST, produite par Coca-Cola, aux goûts variés (raisin, fraise ou orange) et vendue notamment en Amérique Centrale. Comme sur beaucoup d’autres emballages, les canettes de KIST ont une étiquette indiquant leur teneur en sucre et le pourcentage d’Apports Journaliers Recommandés (RDA/AJR) de glucides que cela représente, selon les critères de l’U.S. Food and Drug Administration. Pour les sodas KIST, l’étiquette indique que la canette contient 45 grammes de sucre, soit 15% des AJR américains. Une nouvelle ligne de texte a cependant été ajoutée, indiquant que 45 grammes de sucre correspondent à 50% de la consommation quotidienne recommandée par l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments. Cette précision a été ajoutée dans le but d’aider les consommateurs à éviter une surconsommation de sucre dans leurs boissons et aliments.

Sugar in Foods

Les tentatives de substitution du sucre dans les boissons et aliments sont immédiatement confrontées au problème de l’apparition d’amertume. L’amertume est l’un des goûts les plus sensibles, conséquence de l’évolution, car beaucoup de produits naturels amers sont toxiques. Le gène TAS2R38 (famille de protéines TAS2R) permet aux humains de détecter le gout amer. L’amertume d’un gramme de quinine hydrochloride dans deux litres d’eau à un niveau d’amertume de 1. La substance la plus amère, avec un index de 1000, est le benzoate de denatonium, qui est ajouté a des produits tels que l’antigel et l’alcool à 90 degrés pour éviter l’ingestion accidentelle.


Les Édulcorants Artificiels sont aussi Mauvais Pour la Santé que le Sucre


Est-ce si difficile de fabriquer un soda naturel, sans calories, au bon goût ? OUI ! New York Times Magazine, 5 janvier 2014

Durant des décennies, l’industrie agro-alimentaire a tenté de développer un édulcorant artificiel afin de remplacer le sucre dans les sodas, jus de fruits et autres produits comestibles. Le sucre de table, ou cristallisé, aussi connu sous le nom de sucrose ou saccharose, est totalement bio ; sa formule est C12H22O11, un diholoside de glucose et de fructose (tous deux C6H12O6, le maltose ou sucre de malt est un diholoside de glucose).

Le sucrose, ainsi qu’un diholoside de la même famille, le tréhalose (à moitié aussi sucré que le sucre), s’hydrolyse dans l’estomac en fructose et glucose (un autre diholoside de la même famille est l’isomaltulose, à charge glycémique faible et qui est une source d’énergie plus stable que le sucrose). Tandis que le glucose est métabolisé par les cellules dans tout le corps, le fructose, lui, est métabolisé principalement dans le foie, et plusieurs recherches font le lien entre la consommation de fructose et la stéatose hépatique. La consommation de quantités importantes de fructose, généralement issues du maïs (comme boire un soda ou un cocktail de jus de fruits, au sirop de maïs à forte teneur en fructose ou HFCS), amène le foie à convertir ce fructose en acides gras triglycérides, seulement utiles à nos ancêtres singes, il y a 10 millions d’années. Il y a 200 ans, aux Etats-Unis, le produit fait à base d’excédents de maïs, l’ancêtre du HFCS (sirop de maïs à forte teneur en fructose), était le whisky. Des entreprises comme Coca-Cola et Pepsi (qui détiennent le tiers du marché mondial des boissons sans alcool) seraient tout aussi heureux de tirer tous leurs bénéfices de la vente de sodas et de jus sans sucres, plutôt que de gagner la majeure partie de leur argent en vendant des boissons à base de sucre (typiquement de fructose à base de maïs) favorisant le diabète (en 2013, les cinq plus hauts membres de la direction de Coca-Cola et de Pepsi ont gagné 104 millions de dollars à eux cinq, principalement pour avoir vendu des boissons faites de sucre). Il n’y a pas de conspiration économique ici, plutôt un probléme d’ingénierie biochimique extrêmement complexe : comment fabriquer un substitut chimique qui a exactement le goût du sucre, mais n’est pas du sucre ? Les humains ont une longue histoire de consommation de sucre, utilisé pour la première fois en Nouvelle-Guinée il y a environ 10 000 ans.


Compte-rendu des Édulcorants Artificiels


SORBITOL, MALTITOL, XYLITOL, and ERYTHITOL. L’un des premiers substituts au sucre fut le sorbitol (C6H14O6), un polyol ou sucre-alcool naturel. Il est toujours utilisé dans certains produits allégés (tels que les chewing-gums ou les barres de petit-déjeuner), mais a tendance à jouer un rôle de laxatif et/ou causer des flatulences lorsqu’il est consommé en quantité importante et non métabolisé dans le tube digestif. Proches du sorbitol dans leur sucrage et leurs effets intestinaux, existent le xylitol (C5H12O5), un sucre-alcool naturel, et el maltitol (C12H24O11), un sucre-alcool artificiel. La plupart des sucres-alcools ne sont pas utilisés dans les sodas allégés mais plutôt dans les bonbons et les chewing-gums. Un autre sucre-alcool nature es l'erythritol (C4H10O4), qui a moins d’effets secondaires sur le système digestif et est à deux tiers aussi sucré que le sucre. L’érythritol est souvent utilisé comme additif à d’autres édulcorants et rarement utilisé seul. Par exemple, Mavericks Brands (Palo Alto, Californie) vend Coco Libre, une eau de coco enrichie en protéines, qui contient six grammes de sucre et sept grammes d’erythritol. Un ingrédient a commencé à apparaïtre sur les étiquettes des bonbons : le polyglycitol, un sirop comprenant du maltitol et du sorbitol. Un autre sucre-alcool parfois utilisé est l'isomalt (C12H24O11), un mélange de deux diholosides (glucose-mannitol et glucose-sorbitol), avec un impact moindre sur le taux de sucre dans le sang mais pouvant causer des troubles intestinaux (flatulences, diarrhées). Pour les scientifiques frustrés qui ont longtemps essayé de trouver le substitut idéal au sucre, je soupçonne que leur sucre-alcool préféré est le fucitol C6H14O5.

CYCLAMATES. Les premiers édulcorants artificiels utilisés étaient les cyclamates, surtout le cyclamate de sodium (C6H12NNaO3S), 30 à 50 fois plus sucré que le sucre, qu léger arrière-goût amer. L’un de ses premiers marchés fut la substitution de sucre pour les diabétiques. Le cyclamate fut banni des Etats-Unis en 1970 par la FDA (Food and Drug Administration) car des informations préliminaires montrèrent qu’il avait provoqué le cancer chez des rats. Le cyclamate est toujours banni des Etats-Unis, même sans preuve définitive.

SACCHARIN. Une fois les cyclamates interdits, les producteurs agro-alimentaires se tournèrent vers la saccharine (orthosulphobenzamide – C7H5NO3S). La saccharine a un goût plus amer et fut souvent combiné avec des cyclamates ou un peu de sucre (par exemple dans la boisson Tab, de Coca-Cola). En 1977, la FDA fit également interdire la saccharine, car c’était un agent cancérigène ; l’interdiction fut levée en 1991, mais c’était trop tard pour la saccharine, les producteurs alimentaires étant passésà d’autres édulcorants. Cinq ans aprés la création de la saccharine, la dulcine (C9H12N2O2) fut découverte, et présentait l’avantage de ne pas avoir d’arrière-goût ; la FDA la retira des marchés américains en 1954 car elle aussi était cancérigène.

ASPARTAME. L’édulcorant artificiel ensuite utilisé fut, et est toujours, l’aspartame, mieux connue sous le nom de NutraSweet (un esther méthylique sans soufre de deux acides aminés, consistant en un acide aspartique et un phénylalanine dipeptide - C14H18N2O5). L’aspartame est utilisé dans le Coca Light, l’un des plus célèbres sodas "diététiques". Il est actuellement présent dans plus de 6 000 produits alimentaires et boissons. Sa sécurité alimentaire a été mise en doute, mais il est considéré sûr aux niveaux actuels de consommations (sauf pour les personnes atteintes de phénylcétonurie) ; même si G.D. Searle a dû s’y reprendre à huit fois entre 1973 et 1983 pour obtenir l’autorisation de la FDA sur l’aspartame. L’une des inquiétudes que soulève l’aspartame est que le corps dissout l’aspartame en méthanol (un paquet de Nutrasweet devenant 3,5 milligrammes de méthanol), que le foie convertit en formaldéhyde et acide formique. Le méthanol et le formaldéhyde ne sont pas toxiques à très petites doses. Le néotame (C20H30N2O5) se rapproche de l’aspartame, avec un arrière-goût similaire ; il en faut moins pour obtenir le même niveau de sucre qu’avec l’aspartame, ce qui implique une moindre conversion de méthanol.

CocaCola lies about Aspartame

SUCRALOSE. Un autre édulcorant artificiel utilise est le sucralose (C12H19Cl3O8), connu sous le nom de Splenda. Le sucralose est utilisé dans plus de 4 500 produits alimentaires et boissons. Le sucralose est connu pour avoir le goût le plus "sucré" des édulcorants. Le sucralose a aussi son lot de problèmes de santé. C’est un composé organochloré, dont le plus tristement célèbre est la dioxine, ce qui soulève la question suivante : "La sucralose est-elle plus proche du chlorure de sodium (ou sel de table, NaCl) ou plus proche de la DDT, ou dichlorodiphenyltri-chloroethane (autre compose organochloré 300 000 fois moins cancéreux que la dioxine) ?” Un autre problème potentiel du sucralose est le suivant : utilisé dans certaines boissons, et même extrêmement pur (autour de 98%), il a été prouvé que les 2% restants contiennent parfois du plomb et de l’arsenic (au niveau microgrammique). Ironiquement, une étude récente a montré que le sucralose, bien que ne contenant pas de sucre, affecte les niveaux de sucre et d’insuline dans le sang ("Le sucralose affecte les réponses glycémiques et hormonales après une charge orale de glucose", Diabetes Care, volume 36 (6), juin 2013).

ACESULFAME. Un autre édulcorant artificiel au gout très sucré est l’acésulfame de potassium (C4H4KNO4S), aussi connu sous le nom d’acésulfame K. L’acésulfame est 200 fois plus sucre que la saccharose, à peu près aussi sucré que l’aspartame, 2/3 aussi sucré que la saccharine et 1/3 aussi sucré que la sucralose. Le Coca-Cola Zero est sucré avec une combinaison d’acésulfame et d’aspartame. L’acésulfame comporte quelques problèmes, dont ses résidus de chlorure de méthylène, cancérigène, utilisé comme solvant durant la fabrication d’acésulfame.

NEOHESPERIDINE DIHYDROCHALCONE. La neohesperidine dihydrochalcone (NHDC - C28H36O15) est un édulcorant artificiel issue de plants d’agrumes et particulièrement efficace pour masquer le goût amer des composants des plants d’agrumes. Elle est également utilisée comme rehausseur de goût. Son utilisation est autorisée en France, mais interdite aux Etats-Unis, car elle peut causer, sous certaines conditions, nausées et migraines.

STEVIA. La stévia est un genre d’environ 240 espèces d’herbes et d’arbustes, principalement dans les régions américaines tropicales. Une de ces espèces, Stevia rebaudiana, est connue pour ses feuilles sucrées, et son rébaudioside A (C44H70O23) est utilisé dans les édulcorants artificiels car c’est le plus sucré d’entre eux, quoiqu’un peu amer. L’extrait des feuilles, les glycosides de stéviols, sont environ 300 fois plus sucrés que le sucre, avec des effets plus lents à arriver, mais qui durent plus longtemps. Mais la stévia pure est amère, ce qui en fait un édulcorant artificiel naturel, dont l’utilisation dans les sodas n’offre que peu d’avantages. Elle est également plus chère À produire que la fabrication d’un édulcorant artificiel. Un soda "light" utilisant de la stevia, Virgil’s Zero Real Cola (Los Angeles, Californie), a gardé l’arrière-goût amer présent dans les autres sodas light. Une formule en poudre "améliorée" de la stévia, "Better Stevia", produite par NowFoods, utilise "l'extrait de la feuille entière afin de garder le goût sucré de la vraie stévia" et garde également de l’amertume. En effet, une entreprise a obtenu un brevet sur un édulcorant artificiel afin de rendre la stévia moins amère (brevet américain 8,119,821). De plus, dans les années 1990, la FDA a rejeté la stévia en tant que produit alimentaire, car de fortes doses administrées à des rats avaient réduit leur production de sperme et causé des mutations génétiques. En 2008, pourtant, la FDA autorisa la stévia. La monatine, similaire à la stévia, est un sucrant provenant d’un arbuste d’Afrique du Sud et attire désormais l’attention du milieu.

GLYCYRRHIZINE. Glycyrrhizine (C42H62O16) est une substance naturellement sucrée issue de la racine de réglisse, 30 à 50 fois plus sucrée que le sucre, bien que généralement non utilisée comme édulcorant. La glycyrrhizine a des effets plus lents à arriver, mais qui durent plus longtemps, que le sucre.

FRUIT DU MOINE ("monk fruit"). Le fruit du moine (ou luohan go) est un autre édulcorant à base de fruit, le dernier à être utilisé dans l’industrie agro-alimentaire ; il est utilisé depuis des siècles en Chine comme sucrant et remède contre le diabète et l’obésité. Les mogrosides, extraits du fruit du moine, ont un pouvoir sucrant 300 fois plus élevé que le sucre.


Édulcorants Artificiels et Prise de Poids


Les édulcorants artificiels sont utilisés pour éviter le diabète résultant d’une consommation de sucre, mais également pour éviter la prise de poids qui résulte d’une telle consommation. Ironie du sort, Susan Swithers de l'Université Purdue a avancé que dans certains cas, les édulcorants artificiels peuvent amener à une prise de poids car ils perturbent la capacité du cerveau et du corps à compter les calories, ce qui amène le consommateur à consommer plus de produits sucrés afin d’obtenir les calories et la dopamine que les édulcorants ne peuvent lui apporter.




DANGERS OF SUGAR NEWS


Sugar, especially fructose, is increasingly being recognized as a dangerous addictive drug causing rampant obesity and diabetes around the world, killing millions and costing tens of billions for health care. Use of coca neither kills nor causes diabetes.


ARTIFICIAL SWEETENERS NEWS


While artificial sweeteners were originally put forth as a way to reduce the health dangers of sugar, increasingly artifical sweeteners are being recognized as just as dangerous as sugary.

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